A la découverte des 10 restos de Las Vegas à qui le Guide Michelin a donné des étoiles

Bien que le Guide Michelin ne sorte plus d’édition papier dédiée à Las Vegas de son célèbre guide (la dernière date de 2009…) et que le fameux « Guide rouge » est moins célèbre aux USA que les guides Zagat et Gayot ou bien sûr les sites Yelp ou TripAdvisor, 10 restaurants affichent toujours avec fierté les précieuses et exigeantes étoiles délivrées par le bibendum.

#10 : Nobu (Caesar’s Palace)

Le chef, Nobuyuki alias « Nobu » Matsuhisa, est une véritable star à travers les USA et bien plus encore : il gère une dizaine de restos à travers le monde, dont un à Vegas. Si vous êtes sur Paris, c’est au Royal Monceau que vous pourrez trouver ses recettes.
Nobu a commencé sa carrière au Pérou. Ne trouvant pas les ingrédients nécessaires à ses recettes, il a dû inventer une cuisine fusionnant la gastronomie japonaise et certains ingrédients ou recettes péruviennes (cela dit, pas de cochon d’inde au menu).
Nobu étant l’ « ami des stars », de Niro lui déniché un rôle dans le film Casino où il joue le richissime asiatique voleur de peignoirs qui se fait plumer après avoir « malencontreusement » raté son avion…

Nobu, en cameo dans le film Casino de Scorcese

Les « Plats Signatures » :

Chinchard (yellowtail) au piment Jalapeño
Morue noire charbonnière (Black Cod) au miso.

Téléchargez le menu du Nobu Las Vegas

#9 DJT (Trump International Hotel)

Peu d’informations sur cet établissement portant les initiales du 45ème présidents des Etats-Unis, dans l’hôtel du même nom, qui doit probablement être un des rares étoilés Michelin à servir une carte aussi peu inventive à base de salade grecque, steak frites (en français dans le texte) et cheesecake…

On cherchera peut-être l’originalité dans les cocktails signature des lieux, dont les intéressants Sid Vicious, Cucumber Collins ou Death by Trial.

Le menu

#8 : L’Atelier de Joël Robuchon (MGM Grand)

Joël Robuchon qui avait lancé le concept de l’atelier à Paris l’a décliné à Vegas : dans une ambiance « conviviale et interactive », on prend ainsi place au comptoir de service avec une vue imprenable sur la cuisine où les mets sont tranchés, coupés en dés, sautés et… enfin… servis. Manque plus qu’un 421 pour jouer le repas avec Joël. Pas de bol, il a passé l’arme à gauche il y a 4 ans… bon, bref, un truc sympa quand on n’a pas grand chose à raconter à la personne avec qui on partage le repas, ou pour s’occuper à autre chose que mater son téléphone si l’on mange seul.

Plats signatures :

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